Blog: Mon premier open circle chez Jos

Geschreven door Agnieszka Piotrowska op 27 mars 2020

“Salsa, qu’as tu fais à tes cheveux?”

Team van Josworld rond een tafel

Expérience   

Je viens d’une grande multinational ou les apparences et attirer l’attention n’est pas la norme. Ou le but est de augmenter le chiffres d’affaire et de diminuer les coûts salariaux. Ou le titre de votre poste et le nombre de chiffre sur vos fiche salariaux devienne votre première priorité. Rien de mal à cela bien sûr, mais cela vous change. La ‘Salsabil’ extravertie et marrant faisait lentement place à quelqu’un qui passait plus de temps au bureau qu’à la maison. Je devenais une workaholic. Malgré tout j’essayais de rester moi même. En portant des chaussette atypique ou en changeant de couleurs de cheveux autant que de chaussette. Certes, ces tentative restait en vain. Je me sentais disparaître.

Cinq ans et un burn-out plus tard, j’ai décidé de changer complètement ma vie. Je cherchais un nouveau challenge ou je pouvais exprimer ma créativité tout en restant moi même. Je me sentais limité par le titre de ma fonction. Et je ne le supportais plus. Ennuyeux et vieux jeux, deux mots pour définir mon boulot. Ce qui est à l’opposé de ma personnalité.

La quête

Je suis tomber sur Josworld pendant ma quête pour quelque chose de nouveau. Pendant mon premier entretien les mots “open circle” on été mentionné pour la première fois. Euuh, Open quoi? Je m’attendais a un gros changement de paysage, mais pas cela. Un “open circle”, me faisait penser a aller chez le psy avec tous les collègues. Malgré leurs tentative de m’expliquer le sens de ces mots, cela restait assez abstracte.

Premier open circle chez Jos

C’étais le jour-J: je ne pouvais plus retenir mes nerfs. Peut être la peur de l’inconnu? Je me sentais comme au premier jour d’école. Je suis une analyse: faire des plans et être au contrôle des choses son ma première nature. Ca y est, le meeting allais commencer. Je rentrais dans la pièce avec un grand souris. A cause du stress bien sur. Et puis que pouvais-je faire d’autre? On s’asseyait autour de la table et il nous a été demandé de mettre de choses positif et négatif sur un post it. On pouvait parler des choses lié au boulot ou de la vie privé, partager nos émotions mais aussi nos expérience. Un par un nous expliquons ce que nous avions noté sur le post it. Ce n’était bien sur pas obligatoir. Honnêtement? J’étais habituer au chiffres pas aux émotions, au planning pas à l’improv. Au final j’ai su me séparer de ma peur. Et lacher prise.

Processus d’apprentissage

C’était hyper intéressant d’entendre ce que tout le monde avait mis sur son post it. On a parler de project qui se sont mal ou bien passer. On a parlé du fait de pouvoir prendre son chien avec au bureau ou certains on parler de leurs semaine avec les enfants. Je me sentais à l’abris. Je me sentais comme dans un espace sûr. Je savais que mes collègues allait prendre soins de mes sentiments et mes expériences. Ma peur d’être juger, ma peur d’exprimer mes sentiments ouvertement et sans retenu avait disparu. J’ai parlé du fait que la Jos team m’avais immédiatement accepter dans le group et que je m’y sentais bien. Mais aussi du fait que j’appréciais de pouvoir travailler de la maison ou de prendre mon chien avec au bureau.

Au final le “open circle” ma aider à lâcher prise, de voir les choses d’une autre perspective et de ne plus me concentrer sur des petits détails. En partageant mes expériences dans un environnement sûr et respectueux.  Savoir partager ces choses pour pouvoir avancer en tant que group tout en avouant ces erreur. C’est fou comme on devient plus fort en tant que group en partageant nos expériences et nos émotions. J’attend le prochain “open circle” avec impatience.

 

“Ne rien planifier peut parfois être le meilleur plan!”